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Table des Matières] 

LES VOIES DE COMMUNICATION

     Les routes ont été d’abord voies romaines, routes royales, routes impériales. A partir du 10 décembre 1811 un décret impérial crée les routes départementales.

     Les chemins vicinaux étaient ceux qui avaient été déclarés tels, par un arrêté préfectoral et leur entretien était obligatoirement assuré par les communes. Aux XIXe siècle, ces chemins sont divisés en trois catégories : chemins vicinaux de grande circulation, chemins vicinaux d’intérêt commun, chemins ordinaires. Ces chemins étaient régis par une loi de 1836.

     Dans notre village, les routes départementales n° 18 (Hagetmau-Monget) et n° 173 (Mant-Samadet), chemins vicinaux de grande communication, étaient entretenus par la commune. Le 8 mai 1839, le conseil municipal de Mant décide d’améliorer les chemins vicinaux par : deux journées de prestations en nature, des centimes spéciaux sous forme d’impôts, l’obligation de porter trois mètres cubes de pierres ou de gravier pour les bêtes de trait ou les chevaux de selle.

     En 1840, la route n° 18, qui était en très mauvais état fut exhaussée, car trop souvent inondée, puis peu à peu améliorée. En 1904, cent soixante seize peupliers qui la bordaient furent abattus et renouvelés. Ces derniers furent à leur tour vendus en 1948. La route n° 18 fut goudronnée vers 1936 et la n° 173 vers 1939. Ces routes sont devenues des routes départementales entretenues par le département. la commune a toujours entretenu les chemins vicinaux. En 1921, un rôle de prestations supplémentaire est voté ; les hommes doivent fournir trois jours de prestations, six jours pour les bœufs, trois jours pour les voitures attelées.

     En 1922, vingt-cinq kilomètres de chemins vicinaux impraticables rendaient très difficile l’exploitation des propriétés, leur accès était impossible à certaines époques de l’année. Pour se rendre au Biellé où vivaient de soixante à soixante-dix personnes, les médecins avaient beaucoup de difficultés, ainsi que les enfants pour aller à l’école. Le désenclavement de ce quartier fut réalisé par l’élargissement du chemin existant et la construction du chemin de "Labernaou". En 1964 et 1965, les chemins allant dans les principaux quartiers sont goudronnés. Les habitants soumis aux prestations en nature, les employés des Ponts et Chaussées accomplissaient tous les travaux manuellement : curage des fossés, fauchage des bords, entretien de la chaussée. Depuis 1975, les travaux se font à l’aide d’épareuses, de pelles, etc.

     Le chemin communal du "gnaout" a été construit en 1967 et celui du "chique" en 1968. A partir de 1976, le SIVOM du canton d’Hagetmau régit les chemins ; ce groupement, dissous en 1994, est remplacé par la création de la Communauté des communes qui s’occupe dans le canton de décider quels sont les chemins qui doivent être goudronnés. Le transport des enrobés, les grosses réparations des couches de roulement sont à la charge de la communauté des communes. La mise en œuvre, le fauchage, l’essartage, le curage des fossés, l’entretien et le renouvellement de la signalisation horizontale et verticale sont à la charge de la commune ainsi que la reconstruction des ponts.

     Un projet de voie ferrée avait été établi en 1912. Le 15 août 1912, le conseil municipal approuve le tracé de la ligne de chemin de fer de Hagetmau à Pau, accepte l’emplacement de la gare, à côté de la "Patte d’oie". Il demande également qu’un passage à niveau gardé soit placé au chemin de Saint-Pierre. Les travaux de terrassements ont été faits de Hagetmau à la limite des Pyrénées Atlantiques vers 1932. La voie ferrée n’a jamais été construite.

     La route parallèle à la départementale n° 18 qui relie Monségur à Hagetmau a été faite sur le tracé prévu pour la voie ferrée.

Les transports

     Pendant des siècles, les habitants se sont déplacés à pied, à cheval, en voiture à deux ou quatre roues tirées par des chevaux. Les moyens de transport collectifs étaient les diligences.

     Après la première guerre mondiale, l’usage de la bicyclette s’est répandu, puis très lentement les automobiles, les motos, les cyclomoteurs. A Mant, la première automobile a été achetée par Monsieur Salles, boulanger, en 1926. Puis Messieurs Laborde, Castaignos, Castaing, Maisonnave ont suivi. Jusqu’en 1950, peu de familles possédait une voiture.

     Plusieurs services d’autobus permettaient aux habitants d’aller aux marchés de Hagetmau, Orthez, Arzacq, Mont-de-Marsan, Pau.

     Des services d’autobus assuraient les déplacements suivants : Le lundi pour Pau, le mardi pour Orthez, le mercredi pour Hagetmau, le jeudi pour Mont-de-Marsan.

     Actuellement, l’automobile est le principal moyen de locomotion, pour le travail, les courses, les loisirs. Chaque famille a une ou plusieurs voitures. Plus de service d’autobus, mais des cars pour le ramassage scolaire et les voyages collectifs.

 

LES EDIFICES DE LA COMMUNE

Le Monument aux Morts.

Le monument aux Morts

L'inauguration du 8 janvier 1922

 

     Le Monument aux Morts rappelle l’héroïque sacrifice des enfants de Mant au cours des deux guerres (1914-1918) (1939-1945).

     Sa construction a été décidée en 1920. Madame Veuve Campagne à Rouby a cédé gratuitement à la commune trois mètres carrés de son jardin en échange de la jouissance d’une bande de terre de un mètre appartenant à la commune entre l’église et la basse-cour.

     Deux souscriptions, le produit d’une fête, l’intérêt des sommes placées, ont permis de payer le monument 5463 F. Un don de 50 F de Monsieur le Docteur Larquier à Hagetmau a été utilisé pour l’achat et la pose d’une plaque de marbre sur le socle du monument dont l’inauguration a eu lieu le 8 janvier 1922. Voici le discours prononcé par Monsieur Adolphe Maisonnave, Maire, en présence de Monsieur Lalanne, Député, de Monsieur Domecq, conseiller d’arrondissement, des personnalités locales invitées. (Discours prêté par sa fille, J Maisonnave) :

     "  Mes chers concitoyens,

     Depuis un peu plus de trois ans, la guerre est finie et pourtant cette vision est encore présente à notre mémoire. Je suis sûr que vous vous rappelez aussi cette journée du dimanche 2 août 1914 où, après la messe tous les réservistes et territoriaux mobilisables ont parcouru, drapeau en tête, la rue du village et se sont arrêtés sur cette place en chantant le Chant du départ.
     Ils partirent en effet, le lendemain et les jours suivants, le cœur un peu gros mais fiers d’aller faire leur devoir.
     Il vous souvient des heures d’angoisse où sur le pas de la porte vous attendiez le facteur. Quand vous lisiez la lettre, humide encore de l’haleine de l’être aimé, un frisson vous envahissait. Puis, un jour, le facteur ne s’arrêta plus à votre porte ; l’angoisse devint plus forte présageant quelque malheur.
     Quelques jours après, un télégramme officiel ou une lettre d’un camarade confirmaient l’affreux pressentiment.
     Il était mort... Et, il en a été ainsi pour 23 de nos concitoyens.
     La commune de Mant a voulu, à l’exemple de toutes les communes de France, conserver le souvenir de ces 23 héros. Grâce à la générosité de ses habitants, nous avons élevé le monument que nous inaugurons aujourd’hui et qu’au nom du conseil municipal, je remets à la commune.
     Que ce monument nous rappelle sans cesse notre devoir qui se résume ainsi : Panser les maux de la guerre, secourir nos veuves et nos orphelins, venir en aide à nos mutilés et faire tous nos efforts afin d’éviter le retour d’un aussi terrible fléau. Je termine par ces nobles paroles que prononçait de sa voix éloquente, Monsieur Léon Bérard, ministre de l’Instruction Publique, le 18 décembre dernier, à l’inauguration du monument d’Arzacq, en invoquant les morts de la guerre : "Ils sont morts pour que la France vive et que les Français restent unis".
     Il suffira, en effet, que nous jetions un regard sur ce Monument pour nous rendre compte combien sont mesquines les querelles politiques et les petites rivalités personnelles et cette union, que nous souhaitons entre tous les français, nous la maintiendrons encore plus étroite entre nous tous dans la commune ".

     Malheureusement, dix-sept ans après ce discours, une nouvelle guerre a endeuillé deux familles de Mant, dont les noms sont inscrits sur le monument.

     La statue qui, initialement se trouvait au sommet du monument s’est effritée et a été remplacée par une stèle.

     Liste des enfants de Mant qui ont laissé leur vie sur les champs de bataille :

     - de la guerre 1914-1918 :

     Cadilhon Jean-Baptiste, Campagne Eugène, Claverie Léon, Darbins Pierre, Daudignon Donat, Desbiails Eugène, Dubroca Jean-Baptiste, Dumartin Clément, Dupouy Louis, Geyre Albert, Hirigoyen Louis, Labat Joseph, Labenne Laurent, Larmandieu Jean-Baptiste, Larrieu Joseph, Latapy Pierre, Legouassé Armand, Loupien Pierre, Poudenx Victor, Saint-Genez Jean, Saint-Genez Joseph, Saint-Genez Ulysse, Tastet Jean.

     - de la deuxième guerre mondiale :

     Lagrolet André, Salles André.

La mairie

     Au début du XIXe siècle, le conseil municipal se réunissait dans la maison à côté du presbytère qui servait également d’école. En 1893, la mairie n’avait ni armoire, ni placard, simplement une table et une chaise. Les archives empaquetées étaient posées sur des bancs, exposées à la poussière ; les registres de l’état civil n’étaient pas reliés depuis 1852. Ensuite la mairie a été transférée au-dessus de la cuisine du logement des instituteurs jusqu’en 1920. A cette date, la municipalité l’a installée à l’aile droite, au-dessus de l’école des filles, avec un escalier sous le préau. Au moment de la reconstruction du préau, l’accès à la mairie a été réalisé par un escalier extérieur. En 1990, le rez-de-chaussée de l’ancien logement des instituteurs transformé en mairie, salle de réunion, bureau du maire, secrétariat permet au public un accès plus facile. Le transfert s’est effectué le 1er octobre 1991.

     Jusqu’à la révolution, les conseillers municipaux portaient le nom de jurats.

     Jusqu’en 1851, les maires étaient élus par les électeurs hommes. Depuis la III ième République, le conseil municipal élit le maire parmi ses membres au scrutin secret. Il est assisté par trois adjoints.

     Liste des maires depuis 1851 :

     De 1851 à 1860, Alfred Brettes. De 1860 à 1870, Lambert Larquier, maire sous le Second Empire fut nommé par le Préfet. Il prêta le serment prescrit par l’article 14 de la constitution, modifié par le Senatus consulte de 1852. "Je jure obéissance à la Constitution et fidélité à l’Empereur". De1870 à 1871, Monsieur Lafargue nommé administrateur provisoire. De 1871 à 1891, Lambert Larquier. De 1891 à 1904, Marcel Péré à Basté (Grand-père de G Castaignos). De 1904 à 1912, Prosper Maisonnave (Grand-père de J Maisonnave). De 1912 à 1913, Jean Diris à Lahourtique. De 1913 à 1919, Justin Campagne à Rouby (Grand-père de J Castaing). De 1919 à 1929, Adolphe Maisonnave (Père de J Maisonnave). De 1929 à 1944, René Salles à Laplace. De 1944 à 1959, Pierre Castéde à Berducou. De 1959 à 1984, Joseph Godard à Larquier, décédé au cours de son mandat. Elu conseiller municipal en 1953 et maire le 22 mars 1959, Joseph Godard a toujours été au service de son village, malgré le travail que lui procurait son entreprise familiale. Président du Syndicat d’initiative du canton de Hagetmau, vice-président de l’ASPL (Le Pesquit du Luy), vice-président du SIVOM, de nombreuses récompenses lui ont été décernées. Depuis 1984, Jacques Castaing à Rouby.

     Elu conseiller municipal en 1959, à l’âge de 29 ans, maire adjoint jusqu’en 1984, maire en 1984, réélu en 1989 et 1995 dès le 1er tour Jacques Castaing a des responsabilités locales et nationales nombreuses. Issu du milieu agricole, après de solides études, il fonde dès 1962 la coopérative agricole SOCADOUR, puis devient Président de la Chambre d’agriculture des Landes (1970-1989), de la Chambre d’agriculture d’Aquitaine (1973-1995), membre du Comité Economique et Social national. En 1981, il est élu Président du Comité Economique et Social d’Aquitaine. En 1986, élu Conseiller Régional d’Aquitaine, il en devient le vice-président chargé de l’Agriculture, de la Forêt et de la Mer, puis le premier vice-président dès sa réélection de 1991. En 1988, il accède à la présidence de la coopérative céréalière d’Aquitaine MAISADOUR. De même sous son impulsion se met en place la SA SARRADE, grand pôle de la filière gras dans les Landes et devient Président du Comité Interprofessionnel du Foie Gras (CIFOG). Président de l’UDF et de Force Démocrate dans les Landes, Jacques Castaing est également le Président UDF de la Région Aquitaine. Pour récompenser sa carrière dans le milieu coopératif, politique, pour honorer ses qualités humaines, sa compétence, son grand esprit d’ouverture, il a reçu des mains du ministre de l’Education Nationale François Bayrou, le 12 juin 1996, à Mant, les insignes d’Officier de la Légion d’Honneur. Il est Chevalier de la Légion d’Honneur depuis 1979, chevalier dans l’ordre National du Mérite et Commandeur du mérite Agricole.

Le foyer municipal

Foyer municipal avant sa rénovation en 1996

Foyer municipal : inauguration le 15 février 1959

Foyer municipal : inauguration le 15 février 1959

 

     En 1946, la municipalité décide la construction d’un foyer municipal. Prévu initialement sur un terrain au centre du bourg, sa construction n’est réalisée que douze ans plus tard, à côté de l’école. Son inauguration, le 15 février 1959, par le Docteur Louis Fournier, sénateur, en présence de Pierre Castéde Maire, entouré de ses conseillers municipaux, des autorités locales, civiles et religieuses, a été l’occasion d’une belle manifestation. Cette salle a permis pendant de nombreuses années, d’organiser des fêtes scolaires, des bals, des repas, des réunions, etc. En 1996, à l’initiative de la municipalité actuelle, sous la conduite de Jacques Castaing, les transformations, avec les nouvelles normes de sécurité, permettent d’avoir une salle fonctionnelle à la disposition des associations et de la cantine scolaire.

Le hall des sports

Le hall des sports en novembre 1981

Inauguration du hall des sports en novembre 1981

 

     Pendant de nombreuses décennies, les jeunes et les scolaires n’ont eu que des terrains découverts pour pratiquer le basket, les activités sportives. En 1976, Joseph Godard Maire, et les conseillers municipaux, ont voté la construction du Hall des Sports à la sortie du village, sur un terrain acquis par la commune en 1971.Construit en 1977, aménagé pour le basket, le tennis et diverses manifestations, la première étant la journée gastronomique cantonale le 14 juillet 1977. Inauguré en Novembre 1981, il porte le nom de Joseph Godard.

Les arènes

Course landaise sur la place de Mant au début du XX° siècle

 

     Les habitants de Mant ont toujours été passionnés par la course landaise. Dès le XIXe siècle, les courses ont eu lieu sur la place, fermée par des charrettes et des barrières. Voici un extrait du cahier paroissial : "Le 29 juin 1890, un jeune homme étranger à la commune avait travaillé toute la journée, même pendant les offices à consolider les barrières. Pendant la course qui suit les vêpres, poursuivi par le bœuf, il s’élance sur la barrière qui cède sous son poids. Retombant lourdement sur les cornes de l’animal, il est perforé et meurt le jeudi suivant dans d’atroces souffrances. Ce triste accident n’empêche pas la jeunesse de continuer ses amusements".

     Les courses ont eu lieu également dans des arènes démontables dans la prairie de Jeanne Maisonnave, en face l’école, au Sarthou (en face chez A. Godard). En 1949, Monsieur Louis Diris, Huissier à Mont-de-Marsan, fils de Jean de Lahourtique, donne un terrain pour les arènes. De nombreux habitants de Mant ont participé aux travaux : terrassements, nivellements, etc. Les premières arènes aux gradins démontables, étaient étroites et courtes. Le 3 mars 1963, Monsieur Diris vend à la commune 400 m2 de terrain pour les agrandir et les nouvelles arènes "Jean de Lahourtique" sont construites. Dans ces arènes ont lieu, chaque année, lors des fêtes de la Saint-Pierre, des courses landaises suivies par un public toujours assidu.

Inauguration des arènes Jean de Lahourtique

 

     Mant a eu un éleveur de vaches de course : Casimir Duluc à Peye. Cet éleveur organisait des courses pour les écarteurs locaux au Hourquet, à Lacoste, au Moulin de Bailhé.

     Avant la dernière guerre une fête avec course landaise eut lieu à Pontaut. Voici un extrait du journal Sud-Ouest relatant cette fête :

     " Dans le cadre d’un monastère du XIIe siècle situé à Pontaut, fut offerte autrefois une journée de réjouissances aux populations rurales.
     Les préparatifs demandèrent de longs mois. Pendant ce temps, le projet avait pu se répandre amplement dans les alentours. Grâce à l’association de personnes dynamiques - Ludovic Ducournau et Eloi Forte de Peyre, René Salles de Mant et surtout Armand Loueilh également de Mant, auxquels s’ajoutaient beaucoup de volontaires encore, une cavalcade allait traverser les carrères de Mant, Monget, Peyre, Monségur pendant que l’immense parc du monastère se garnissait de véhicules de toutes sortes dans un tintamarre indescriptible de Klaxons, trompes, grelotterie, "esquirouns", etc.

     Tout d’un coup, par une voix de commandement, celle du " maire" de la commune libre de Pontaut, Armando de las cabillas (autrement dit Armand Loueilh, ainsi nommé parce que marchand de sucre d’orge) demanda le silence à la foule installée sur les gradins spécialement aménagés pour la circonstance. En tenue de soirée, chapeau huit reflets posé dignement sur la tête, apparaissaient le maire de Cazalon (Charles Plantié), le maire de Montmartre (Henri Dumartin) accompagnés de Georges Dumartin et Jean-Félix Lassalle ( la Céruse), de leur suite, et du char de la reine des fêtes. Deux discours furent prononcés. Ils eurent pour leitmotiv : " Buvez, chantez, riez en ce beau jour, il est un seul pays qu’on aime : c’est Pontaut".

     De nombreuses décorations fantaisistes furent remises aux "dignitaires" pendant l’entracte de la course landaise qui put se dérouler malgré la pluie venue en intruse pour ternir les efforts des organisateurs. Elle gêna, mais n’empêcha pas le programme de se dérouler.

     On parla longtemps de cette journée dans cette région paisible où les réjouissances étaient inexistantes en dehors des fêtes locales. "

Journée de fête à Pontaut : de gauche à droite, Georges Dumartin, Henri Dumartin, Armand Loueilh, Charles Plantier et Jean-Félix Lassalle. Sur le char Maurice Brettes de Laou.

 

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